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Le thème de la communication fût débattu de manière intéressante – et parfois, innovatrice -, durant ce troisième jour du FSM de Caracas.
Une des nouveautés fût la présence de différents mouvements sociaux autour d’une même table (normalement, les événements portant sur ce thème sont faits pour les communicatrices et les communicateurs – nous parlons entre nous-même). Une lacune cependant, à laquelle on a pas remédié, fût l’absence de femmes dans les deux panels sur le droit à la communication.


Je ne me réfère pas uniquement au manque de femmes comme panélistes, mais aussi à l’absence de mouvements féministes dans ces événements. En bout de ligne, il faut savoir que les féministes ont beaucoup à partager en termes d’expériences d’articulation de réseaux et d’utilisation stratégique de la communication à des fins de défense de droits.


Bien que la question de genre soit considérée comme un axe transversal du FSM, le champ de la communication de cet axe fut oublié – ou plutôt, son importance surestimé. On ne peut pas parler d’auto reconnaissance, d’identité et d’estime de soi s’il continue a y avoir une exclusion – bien qu’accidentelle – de perpétuée ainsi.


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